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Visite chez Mickey ... Bon on n'était pas les seuls et la Reine des Neiges (fortement attendue) a brillé pas son absence. Mais les loulous sont contents de leur journée : parades de Noël, labyrinthe d'Alice au pays des Merveilles, Aladin, grotte des pirates, la maison dans les arbres de Robinson, manège ToyStory. A cela s'est ajouté une nourriture équilibrée faute de restaurants accessibles : chips, glace, chocolat. Appréciée par la tribu.
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Rédigé à 23:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
je fais une estimation immo sur www.efficity.com
Rédigé à 16:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
En décembre, Google tentait de racheter Yelp, un réseau de portails locaux US pour près de 500 M de dollars. Google a déposé il y a 2 semaines un brevet permettant de plaquer de la pub virtuelle sur les facades de Streetview. Aujourd'hui, Google a lancé une offre Clic-to-call sur son réseau Adwords mobile : l'annonceur paye quand un mobinaute clique sur le N° de téléphone de l'annonceur local.
La 1ere régie mondiale voit dans la publicité locale un levier de croissance. Google n'est pas le seul à le penser : La pub locale en ligne va exploser en 2010. Internet représente déja 50% des investissements publicitaires des TPE/PME aux US. EN France, le marché de la pub locale en ligne tourne autour d'1 Milliard d'euros, consommés largement sur les annuaires en ligne.
Un media adapté pour ce type d'annonceurs
Les annonceurs locaux disposent par nature d'un budget limité et sont plus sensibles à leur retour prospect qu'à leur image. La pub sur Internet, accessible et fondé&e à la performance, a tout pour les séduire. De plus, dans ses choix publicitaires, un annonceur local a tendance à plus se fonder sur ses propres habitudes de consommation que sur des études marketing poussés. Or, aujourd'hui, près de la moitié des internautes surfent depuis 5 ans, ce qui représente un potentiel important d'annonceurs parmi les dirigeants de TPE/PME.
Un levier de croissance pour les éditeurs et régies
La croissance des éditeurs de sites et de leur régie commence à peiner. Les CPM s'effondrent, les audiences se morcellent, tous les grands comptes ont déja un budget Web important. Or, les annonceurs locaux acceptent souvent des forfaits à prix plus élevés une fois qu'on les rapporte au CPM.
Restent deux conditions pour que cette offre et cette demande se rencontrent.
Savoir cibler géographiquement
Il est nécessaire de pouvoir proposer un ciblage géographique aux annonceurs. Sur les PC fixes, il est possible de se fonder sur les adresses IP des internautes. L'IP reste fiable au niveau départemental, un peu plus limite au niveau municipal. Sur l'internet mobile, les requetes ou les usages fondés sur de la localisation sont nombreuses. Il suffit de voir les applis Iphone ou Android qui se fondent sur la situation geographique du consommateur : Locr, foursquare, dismoiou ...Le ciblage est dans ce cas très précis (entre 0 et 50 m) qu'il se fasse par GPS, triangulation GSM, Wifi ou RFID.
Pousser les portes
Les éditeurs et régie doivent s'appuyer sur un réseau commercial puissant pour approcher les annonceurs. En effet, tout aussi Online soient ils, ces produits pub se vendent plus par des commerciaux qu'ils ne s'achètent en ligne seuls. C'est là où il y a un marché à investir pour toute société disposant d'une force commerciale puissante apte à rencontrer un marché de près de 500 000 entreprises locales.
J'essaye en général de ne pas trop associer mes expériences pro à ce blog. Par soucis de confidentialité et d'indépendance de vue. Néanmoins, je peux citer une initiative à laquelle j'ai participé et à laquelle je crois fermement. EN plus d'avoir ouvert près de 265 portails locaux, ParuVendu vient de lancer GeoWeb, une régie dédiée à la vente de solutions Web auprès des annonceurs locaux. Les produits vont de l'affichage geociblée à l'annuaire en passant par une solution de référencement naturel. Cette équipe de 30 commerciaux experts est appelée à grossir trés rapidement et constitue un relais de croissance pour la 2nde force commerciale de proximité de France.
Rédigé à 21:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
Google a lancé en 3 langues un outil de recherche pour les personnes désirant rechercher/fournir des infos sur des Haitiens dont on n'a pas de nouvelles depuis le séisme. L'outil est en 3 langues, simple, insérable sur un site (cf plus bas) et dispose d'une API pour l'interfacer avec d'autres outils.
Plus d'infos sur : http://www.google.com/intl/fr/relief/haitiearthquake/
L'initiative est aussi bien déclinée qu'intelligente. Elle complète tous les appels aux dons qui se multiplient sur le web.
De son côté, Yahoo! fonde son action envers Haiti sur son site Yahoo! for Good. Le site est d'une pauvreté fonctionnelle affligeante pour un acteur web comme Yahoo!. Toute initiative restant bonne à saluer vu le trafic du site.
A noter aussi les 1eres applis mobiles dédiées à ce drame :
Sur android :
Haiti Relief Widget, permet de faire un don de 1,43 dollar (soit 1 dollar au final vu que Google prend au passage 30%) : http://www.androidzoom.com/android_applications/social/haiti-relief-widget-donation_dght.html
Sur Iphone :
DonatetoHaiti, permet de faire des dons à la Croix Rouge. Si l'application est bien faite, elle n'est pourtant pas officielle ce qui peut tout de même rebuter. Autant passer par Itunes, où Apple rend possible les dons en ligne auprès de la Croix Rouge US (Apple ne prélevant rien au passage). Le palier maximum de don est élevé : 200 dollars. J'ai lu cette info sur Apple Insider, mais il semble que cela soit limité à Itunes US, car je ne trouve pas cette possibilité sur mon Itunes....
Les grandes plateformes sociales ne sont pas en reste :
Sur Twitter : A présent tout événement mondial est à suivre sur Twitter. Il suffit de voir les top mots clés de la semaine sur la home de Twitter :
La plateforme Twitter sert bien sur à relayer les dons. On peut citer l'exemple de l'association "Yele Haiti Foundation" qui a certainement récolté pas mal de dons via des retweets en cascade d'un tweet de son fondateur le chanteur Wyclef Jean. Selon le NYTimes, "Yele" était en effet l'un des mots clés les plus tapés la semaine dernière. Les dons pouvant se faire par SMS.
Sur Facebook : Zoo World, l'un des jeux les plus populaires sur facebook : 2,5 millions de fans en 8 mois. Il est possible d'acheter pour son zoo un flamand rose (virtuel), les gains étant reversés pour les victimes haïtiennes.
Alors à qui donner ?
Les appels aux dons sont nombreux. Il est toujours difficile de savoir à qui donner. Certaines expériences malheureuses ont marqué les esprits lors du Tsunami en 2003. Les risques de détournement sont aussi forts. Un site comparant les associations peut vous aider à mieux choisir : www.aquidonner.com.
Rédigé à 22:10 dans ;-) Vu sur le Web ;-), Actualité, géants du web, Moteur de recherche, web | Lien permanent | Commentaires (0)
Balises: associations, dons en ligne, Haîti
Plus qu’une année, c’est une décennie qui s’achève.
En 10 ans, Interne a pris un poids économique, politique, social considérable et ceci à une vitesse fulgurante. Mais, ce qui me marque en premier, c’est la masse exponentielle de données qui y transitent grâce aux nouveaux usages.
Une masse de plus en plus croissante et diffuse
Les contenus du Web ne sont plus le fait d’éditeurs professionnels ou de marchands qui en faisaient un copier-coller numérique de leur titre ou catalogue. Le Web fourmille de journaux plus ou moins intimes, de boutiques qui bout à bout prennent le dessus sur les hypermarchés et best sellers virtuels.
Chaque jour, les millions d’internautes et petites structures bloguent, réseautent, commentent … S’ajoutent à cette masse les données issues des applications en ligne, allégeant les disques durs des PC et alourdissant ceux des serveurs distants (Ex : Zoho, Google Docs).
Le contenu disponible n’est plus uniquement celui saisi sciemment par les internautes. L’internet des objets commence à contribuer à cette hypercroissance des données : votre appareil photo, Iphone nourrit les systèmes en meta-données (ex : parcours de jogging comme Runkeeper) qui une fois compilées en génèrent d’autres.
Une prise de parole facile et décomplexée
Cette prise de parole n’est pas le fruit du hasard.
Publier du contenu n’a jamais été aussi simple, rapide, peu cher. Plus besoin de connaissances informatiques pour publier texte (Wordpress), photos (ex : Flickr), vidéos (Ex : Youtube), sons voire des applications (Yahoo! Pipe). Plus besoin d’équipements informatiques lourds et fixes un simple téléphone suffit (Ex : Iphone). Leur diffusion est à présent en temps réel avec l’avènement du Real Time Web, la tendance qui clôt cette décennie. Le tout pour une somme proche de zero. Streamer en direct une scène depuis son téléphone gratuitement : qui aurait cru que c’était à la portée de tous, ne serait ce qu’il y a 2 ans.
L’exemple de Qik.com est marquant :
Par ailleurs, l’usage du micro-blogging (Twitter) a décomplexé les gens dans leur prise de parole : plus besoin de partir sur des contenus longs et structurés pour participer. Idem pour les réseaux sociaux ou je circonscris mes propos à mes proches.
Une masse diffuse qui vous glorifie ou vous tue en quelques heures
Cette masse diffuse a un pouvoir de viralité fulgurant.
Très vite, des millions d’internautes peuvent consulter un contenu, dont eux-même pourront devenir les ambassadeurs. Le résultat peut surpasser celui d’un campagne publicitaire à gros budget : Combien Evian aurait du payer pour que sa campagne avec les bébés en rollers soient vues par 15 millions d’internautes ?
Ce dernier exemple de buzz positif à peu de frais ne doit pas faire oublier le défi des marques : réussir à le déclencher ou endiguer le buzz négatif.
Connaissez vous le film qui a été vu par 36 millions d’internautes en 2009 ? Twilight 2 ? Non, celui d’un gamin sortant du dentiste et encore un peu sonné, film pris par son père. D’une vidéo à destination intime et familiale, cette vidéo a dépassé la grosse majorité des blockbusters US …. Le mot buzz est entré dans le langage commun depuis 2 ans, en témoigne Google Trends.
Une masse « SDF » : Sans Domaine Fixe
Cette masse diffuse n’a plus d’adresse. Certains diront que le Web est une plateforme. Le contenu est à présent déconnecté d’un nom de domaine ("déportalisation"). Les widgets permettent de rapatrier le contenu d’un site sur un site tiers, dont le site d’origine ignore en général l’existence (Google connaît il tous les sites qui diffusent les videos Youtube ?).
En conclusion
Les prochaines années, les marques vont devoir affronter un défi où l’argent sera moins crucial que l’intelligence ou la transparence.
Bonne année, bonne décennie !
Rédigé à 15:14 | Lien permanent | Commentaires (1)
Pour ceux qui ont trop de travail et ne veulent pas pour autant passer devant l'évènement.
Bien plus sur : http://www.ustream.tv/channel/le-web-main-stage (Tweets,archives, ...)
Rédigé à 13:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Il y a quelques semaines, je testais les hommes politiques et leur usage de Twitter. J'en avais déduit que peu d'entre eux jouait le jeu jusqu'au bout : seuls 2 d'entre eux disposant d'un compte Twitter ont répondu à ma question.
J'avais alors oublié de tester la réactivité de C. Estrosi, Ministre de l'Industrie, qui dispose d'un compte Twitter (en plus d'une appli Iphone, ce qui est assez novateur). Or, dernièrement, celui-ci s'est fait remonté les bretelles par un sénateur pour ses tweets qui cumulaient fautes d'orthographe, inexactitudes et propos agressifs. La réponse du Ministre consiste à indiquer à mi-mot qu'une bonne partie de la presse lui refuserait droit de parole, alors il se réfugierait sur des moyens de communication directe comme Twitter.
Je ne veux pas rentrer dans un débat politique. Ce n'est pas l'objet de ce blog. Je ne commenterai pas les propos du sénateur.
Ce qui me choque le plus est qu'un Ministre fasse des "appartés numériques" pendant ses débats avec les Elus de la Nation. Qu'il le fasse hors séance par les moyens qu'il souhaite (et je pense qu'ils restent nombreux quoiqu'il en dise !). Mais, s'exprimer en séance auprès d'un public autre que celui des parlementaires est irrespectueux de ceux-ci et surtout de ce qu'ils représentent. Pire, cela ne sert à rien. Replaçons Twitter à sa juste place : Twitter est bien pour livrer rapidement de l'émotion, une courte anecdote, une information brute mais certainement pas un discours construit et rationnel qu'est censé être celui d'un Ministre. A quoi ca sert de connaitre en live sa vision des parlementaires de l'opposition ? Il peut tres bien le faire après, mais surtout développer son idée dans un post sur son blog.
Ici, modernité rime avec futilité.
Rédigé à 11:46 dans Politique Online | Lien permanent | Commentaires (0)
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